François Asselineau, le 20 avril 2017

 

 

Ce jeudi 20 avril 2017, François Asselineau, président de l’UPR et candidat à l’élection présidentielle française était, comme chacun des dix autres candidats à cette élection, invité à s'exprimer seul devant deux journalistes durant un quart d'heure. Cette formule particulière, véritable déni de démocratie diront certains, étant due au fait que d'autres candidats, qualifiés fallacieusement de « grands » par la presse dominante, ont en fait refusé de prendre part à un débat collégial incluant tous les prétendants à l'Élysée. Il faut reconnaître, qu'à propos de toute question concernant l'Union européenne ou l'euro, personne n'oserait affronter François Asselineau tant celui-ci maîtrise au plus haut point ces sujets on ne peut plus importants.

 

Je vous invite à écouter cette brillante intervention de François Asselineau qui rappelle, une fois de plus, de nombreux éléments extrêmement importants tels que, par exemple, les grandes orientation des politiques économiques, les GOPÉ, les conditions légales qui autorisent à intervenir militairement dans un autre pays ou encore la mise sous tutelle militaire et diplomatique otanienne des membres de l'Union européenne par l'article 42 du TUE.

 

 

L'auditeur attentif aura apprécié au plus haut point, à 16'06'', le commentaire que François Asselineau adresse, tout en souriant, à ses deux interlocuteurs :

 

« Il faut que les journalistes renouent  avec la charte de Munich de 1971 dont les articles 8 et 9 sont à votre esprit. »

 

Pour rappel, ces deux articles de la charte de Munich de 1971 stipulent :

 

« 8 - S'interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondements ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d'une information.

9 - Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n'accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs. »

 

Ce rappel à l'ordre témoigne du fait que François Asselineau, tel un grand Président, peut être extrêmement caustique sans aucunement se départir de sa parfaite courtoisie.

 

 

Finalement, c'est avec sérénité et élégance que François Asselineau abandonne à ses interlocuteurs le rapport déchiré des GOPÉ et repart en emportant un rameau d'olivier, symbole de paix et d'hommage rendu au triomphe du vainqueur !

 

Amis français, ce dimanche 23 avril 2017, votez François Asselineau !

 

 

 

 

 

 

 

 

Mike Werbrouck

Président fondateur du MIB

 

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